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- La vie de la société
- Le mot du président
- La taillanderie Lehmann de Saint-Martin
André DUBAIL - Le patois de chez nous !
Fréddy DIETRICH – Jean-MArie GÉRARDIN – Gabriel GEIGER - Un puits remarquable à Neuve-Église
Philippe SCHWOB - Souvenirs d’un garde-champêtre d’avant-guerre
Antoine FUCHS - 60 ans après : 1950 dans la presse
Gabriel GEIGER – Christian DIRWIMMER - De feuilles en aiguilles, histoires d’arbres
Jean-Marie ERNST - Le grand sapin
Jean-Marie GÉRARDIN
La taillanderie Lehmann de Saint-Martin
p.16 – André DUBAIL« Pour fonctionner, une taillanderie avait besoin de trois éléments essentiels : le fer, le feu et l’eau. On trouvait donc des taillanderies dans les régions où il était possible de réunir les trois éléments sans grande difficulté. Il fallait être tout d’abord voisin d’un centre de production de fer : mine ou fonderie (Vosges, Jura, Lorraine, Haute-Saône). Il fallait aussi avoir à sa disposition du combustible à profusion pour alimenter le feu de la forge : forêts ou mines de charbon (Vosges, Jura, Haute-Saône). Enfin, l’élément déterminant au XVIIIe siècle était la présence d’un cours d’eau, de préférence un torrent de montagne. Le Val de Villé remplissait ces trois conditions. »
Riche en illustrations, cet article détaille un ancien métier artisanal du Val de Villé lié à l’eau.